Historique de l'agl

Retrouvez ci-dessous l’histoire et les actions de l’AGL année par année :

  • 2019-2020

    Arnaud Huberty (DRT)

  • 2018-2019

    Anaïs De Munck (ESPO)

  • 2017-2018

    Santiago Dierckx (DRT/FIAL)

    Campagne prix plat du jour aux resto U, enquête esprit critique et citoyen, enquête et campagne logement, salmigondis, plateforme job avec les syndicats (CSC, FGTB) et inforjob (tenue de permanences), fusion (suite), réécriture RGEE dans le cadre de la fusion, accueil migrants à l’AGL, Mise en place GT harcèlement sexuel, campagne et note fossil free, campagne consentement sexuel et prévention des risques, accessibilité de la ville aux PEPS HTM, refinancement double cohorte (avec la FEF et l’AGW), GT supports de cours, campagne politisation avec FEF.

  • 2016-2017

    Tanguy Massin (FIAL)

    G100, hausse frais majorés hors UE (occupation rectorat), jobistes (tentative plateforme avec jeunesses syndicales), suite dossier tutorat (pas avancées significatives si je me souviens bien), FUSION (bordel…), stages dentaires, voile en stage de médecine, découpeuse laser sur site.

  • 2015-2016

    Antoine Grégoire (DRT) et Hélène Jane-Aluja (FIAL)

  • 2014-2015

    Merlin Gevers (ESPO/DRT) et Matthias Meirlaen (FIAL)

  • 2013-2014

    Ysaline Geels (DRT) et Kevin Pirotte (FIAL)

  • 2012-2013

    Seconde victoire de la liste Horizon aux élections. Corentin Lahouste (FIAL) et François Braghini (ESPO) deviennent les deux nouveaux co-présidents de l'AGL. L'année académique qui suit ces élections démarre avec une victoire : la mise en place du plat à 3€ aux Restaurants Universitaires pour les étudiants; et un défi : le lancement d'une nouvelle salle d'animation, Le Post', en co-gestion avec le CEP (Cercle des étudiants en philosophie).

     

    Cette première partie de l'année est surtout marquée par le retour de l'AGL à la Fédération des Étudiants Francophones, une année après son départ de la FEF, après que de nombreux changements en son sein eurent lieu - notamment suite à l'élection de David Méndez Yépez à sa tête.

     

    Sur le plan communautaire, l'AGL consacre surtout beaucoup d'énergie au projet de décret "paysage" proposé par Jean-Claude Marcourt, qui vise à réformer l'organisation de l’enseignement supérieur. Une large information et mobilisation étudiante suit un travail d'analyse. Le dernier dossier important du premier quadrimestre concerne le suivi de la note "échelonnement" (qui vise à permettre à tout étudiant l'étalement du payement de son minerval) présentée et débattue lors de 3 CASE et amenée au Conseil d'administration de l'UCL en décembre. Mais la mauvaise volonté de certains services met à mal sa mise en place concrète et entraîne un flou quant à concrétisation. Par ailleurs, le Conseil vote une note qui sera amenée au Conseil d'administration de l'UCL afin d'appeler l'Université à stopper ses liens, de mobilité étudiante et de recherche, avec Israël tant que les autorités académiques concernées n'auront pas pris position en faveur du respect des droits de l'Homme à l'égard des Palestiniens et n'auront pas condamné la politique d'occupation et d'apartheid de l'état d'Israël.

     

    À propos de l'animation, l'année entière est marquée par la volonté d'avancer un maximum sur le dossier "gobelets réutilisables" (qui vise à parvenir à l'utilisation généralisée de gobelets réutilisables au sein de l'animation néolouvaniste) afin de le faire aboutir. Un chargé de mission est engagé au second quadrimestre pour avancer sur le dossier.

     

    Finalement, l'AGL bat un nouveau record de participation aux élections étudiantes : 35,26%.

  • 2011-2012

    C’est la liste Horizon qui remporte les élections. Antoine Saint-Amand et David Méndez Yépez inaugurent une nouvelle formule à l’AGL : la co-présidence. L’année est marquée par la nuit sans animation en novembre, qui dégénère et met la ville à sac. Toutefois, le dialogue entre étudiants et autorités communales reprend. En décembre, au terme de nombreux efforts, l’AGL quitte la Fédération des Étudiants Francophones (FEF). Pourtant, elle ne reste pas inactive au niveau communautaire et s’implique au maximum dans les différentes réflexions autour du mouvement étudiant.

     

    La deuxième partie de l’année est marquée par la tenue du Forum de la représentation étudiante, qui vise à clarifier les rôles des différents organes de représentation étudiante à l’UCL (AGL, BDE, CGEE…), par un action pour le maintien du fiancement de la Coopération Universitaire au Développement (CUD) et par la célébration des 40 ans du transfert de l’aile francophone de l’UCL à Louvain-la-Neuve.

  • 2010-2011

    Tabasco fait place à deux nouvelles listes : ADES et Tous Ensemble. Les élection sont remportées par la seconde et Aurélien Hachez devient président. Dans un objectif d’unité, le comité est volontairement une coalition des deux listes.

     

    Le développement durable, véritable priorité, accède à une vice-présidence au sein du comité et le nombre de permanent passe à 3. Le Conseil de l’Animation et son bureau se mettent en place. C’est une année difficile avec la Ville d’OLLN. Une manifestation silencieuse revendiquant la prise en compte de l’avis étudiant est organisée à l’hotel de ville d’OLLN au mois de mars. Résultat: une bipartite est obtenue!

     

    Notons également la relance du Syndicat des Étudiants Locataires (Syello) pour tenter d’améliorer les conditions de locations des kots. Cette année là coïncide également avec l’avortement de la fusion des 4 universités (UCL, FUCAM, FUNDP, FUSL) en une seule l’UCLouvain. L’AGL, dénonçant ouvertement le manque de démocratie dans la nouvelle structure, se positionne contre ce projet. Dans la foulée, une projet de fusion UCL – FUCAM, est voté. Au niveau de l’enseignement, les premiers examens anonymes verront le jour.

  • 2009-2010

    Marc Magnery, issu de la liste Tabasco, devient le président de l’AGL. Le début de l'année est marquée par l'occupation du bureau de poste de Louvain-la-Neuve.

     

    Ce combat qui mènera les étudiants à aller protester jusqu'au siège central de la Poste se terminera par une expulsion manu militari et l'ouverture d'un "Point poste +"... Les étudiants croiseront le fer avec les autorités pour obtenir la construction de nouveaux logements étudiants. La pression étudiante aura payé quelques mois plus tard! C’est également cette année là que le GP Anim, souhaitant démocratiser ses décisions, lance lance les Etats Généraux de l’Animation (EGA). Ceux-ci débouchent sur la création du Conseil de l’Animation (CAN).

     

    Pour la première fois, un poste est créé au sein du Comité consacré au développement durable. On organise la première édition des AGL Days (avec un concert de Magic System!) et les élections électroniques voient le jour! Le taux de participation atteint un record : 33% !

  • 2008-2009

    C'est la liste Tabasco qui remporte pour la deuxième année les élections. Benjamin Peltier est élu à la tête de l'AGL. Dès la rentrée académique, le processus de fusion des universités catholiques s’accélère et un plan de gouvernance est proposé par les quatre recteurs. L’AGL va rapidement se mobiliser contre ce plan dénonçant une volonté de revenir sur les acquis des étudiants en terme de participation. L’AGL va réussir à fédérer autour d’elle les conseils étudiants des autres universités et organisera une manifestation regroupant 800 étudiants dans les rues de Louvain-La-Neuve pour dénoncer le projet de fusion. Le second quadrimestre sera lui surtout marqué par le soutien aux sans-papiers. L’AGL participera activement à la diffusion de la lutte, d’abord dans le monde universitaire puis dans la société civile. Enfin, le troisième élément qui occupa beaucoup l’AGL cette année-là est la première participation de la communauté universitaire à l’élection du recteur. Conférences, Savate spéciale programme des candidats, flyers d’informations: un maximum a été fait pour impliquer la communauté étudiante dans cette élection.

  • 2007-2008

    Suite à une affaire de fraude électorale, la liste Tous Pour Un est invalidée. La liste Tabasco remporte 56 des 60 sièges, tandis que les 4 sièges restants reviennent à la liste Motivés. Le comité, sous la présidence de Sébastien Schellen (FSA), accorde une attention toute particulière aux développements institutionnels (Plan de développement, réforme du processus d'élection du recteur, colloque de réflexion sur l'avenir de l'université), tout en faisant aboutir une mine de projets plus concrets (Foyer à Woluwé, rémunération des stages en MD, distributeurs équitables, altercours...), et en poursuivant les réflexions sociales (démocratisation, aides différenciées, critique des droits complémentaires...). Nouveauté, l'AGL se veut médiatrice - syndicale ? - dans la défense des étudiants par rapport aux abus de la société LLN.net et par rapport aux nombreux problèmes liés au logement (création d'une commission paritaire locative).

  • 2006-2007

    Le Conseil s'étend à soixante membres, quasiment tous fraîchement arrivés à l'AGL. Damien Delépine (FSA) pilote le comité. Dans son dicours de rentrée, il évoque la difficile démocratisation des études supérieures. La Savate fait peau neuve avec un nouveau format : 16 pages en couleur. C'est l'année de la vigilance : le Plan de Développement est discuté dans les instances de l'Université et l'AGL entend conserver son esprit critique et veiller à ce que les réformes soient menées en toute transparence que les préoccupations étudiantes soient entendues. Point d'orgue, le 28 février, le Sénat Académique est envahi par 400 étudiants, empêchant le CA d'avoir lieu (récit des évènements). Depuis, l'AGl continue à veiller sur les transformations à l'oeuvre...

  • 2005-2006

    Menée par Benoît Pitance (ESPO), l'équipe se révèle plurielle mais très dynamique. Le premier quadri se caractérise par l'examen systématique du système des majeures et mineures et par la demande de la généralisation de l'accès à ces dernières. La volonté d'accroître la marge de manœuvre des étudiants bisseurs ballotés par les réformes se traduit par un suivi des cas individuels. Ensuite, le refus de l'adoption du budget social au CASE est motivé par le fait que des produits exceptionnels qui auraient pu servir à développer des projets sociaux sont en trop grande partie reversés au budget général de l'université. Quelques mois avant, l'AGL fait descendre trois mille étudiants en rue, avec les cercles et les régionales, pour réclamer davantage de souplesse quant à l'animation nocturne. Le second quadrimestre est ponctué par trois colloques, le premier sur l'enseignement, le second sur la politique de coopération universitaire au développement, et le troisième sur le site de Louvain-la-Neuve et la place qu'y occupent les étudiants. Par la suite, les étudiants réclament la mise en place d'un groupe d'administrateurs chargés de repenser la politique sociale de l'UCL et l'envergure à lui donner. Ils invitent également le Conseil d'administration à redéployer l'offre de logements.

  • 2004-2005

    C'est Elizabeth Moens (PSP) qui pilote le comité.

  • 2003-2004

    Nicolas Bossut, ancien président de l'Organe, veut incarner ce nouvel esprit, une AGL « de proximité », « au service ». Il partage la présidence avec Pierre Lison (FSA).

  • 2002-2003

    C'est l'année du changement. Lors des négociations relatives aux économies à faire en matière de logement, la délégation étudiante au CASE se pose résolument contre l'idée de faire passer un millier de kots UCL de dix à douze mois. L'AGL se positionne en syndicat des étudiants. Le Conseil soutient un moratoire sur toute augmentation directe ou indirecte du loyer. En échange, les représentants étudiants se disent prêts à rediscuter des subsides faits à l'animation, et proposent une augmentation du prix de la bière ou des surfaces d'animation, qui permettrait de dégager 70.000€ par an. Le GCL et la FEDE se cabrent, craignant que cela ne porte un coup d'arrêt aux petits cercles. C'est cette tension qui fera naître une nouvelle équipe aux élections suivantes, qui se présente au départ comme une liste émanant des collectifs d'animation.

  • 2001-2002

    Rodolphe Sagehomme (FSA) mène la barre.

  • 2000-2001

    Alexandre Chaidron est le président. L'AGL réintègre la FEF.

  • 1999-2000

    L'équipe, menée par Gaëtan Vanloqueren (AGRO), se lance dans la dénonciation de la dictature birmane, ainsi que du soutien qui lui est apporté par Total Fina, multinationale avec laquelle le président du Conseil d'administration de l'UCL de l'époque a des atomes crochus. Par le biais de sa commission Ouverture et Solidarité internationale, l'AGL organise par ailleurs l'Autre Pack et soutient les sans papiers. Pour plaider pour une réelle liberté d'accès à l'enseignement (contre le Numérus clausus, etc.), les étudiants murent l'accès aux Halles universitaires lors de la « Nuit des briques ». L'AGL organise également le ciné-nomade, et par l'intermédiaire des cours Méta-Métis, se pense comme un « laboratoire des initiatives pédagogiques ».

  • 1998-1999

    Nicolas Brahy est à la barre (DRT). L'AGL participe à la redéfinition des 24h (annulées en raison du décès accidentel d'un étudiant) et à la création de la CGEE (anciennement CIEE). Elle accueille des sans papiers, organise une Semaine de l'électeur citoyen et une Semaine de l'avenir (conférence, Tiers-mondopoly géant, etc.) Le mouvement éudiant ne vit plus ses moments forts; "soyons lucides: l'AGL c'est cent étudiants motivés, quelques centaines de sympathisants, et des milliers d'indifférents". (cité dans Une aventure universitaire)

  • 1997-1998

    L'Assemblée, présidée par Diane Platteeuw (FLTR), tente de fédérer le mouvement étudiant, notamment par le biais des projets. Elle organise la journée de réflexion Droit en questions, ainsi que la Semaine de la solidarité. Le CREA, pour Collectif étudiant de réflexion et d'action, est lancé également, pour une représentation étudiante ancrée sur le terrain (par contraste avec la FEF du moment), pour dynamiser la lutte contre l'échec et la démocratisation.

  • 1996-1997

    Sous la présidence de Gérald Deschietere (MD), l'AGL quitte la FEF.

  • 1995-1996

    Isabelle Ferreras (ESPO)
  • 1994-1995

    Axel Lefevre (DRT)
  • 1993-1994

    Frédéric Thiry (MD)

  • 1992-1993

    Hervé Capart (FSA)
  • 1991-1992

    Christophe Derenne (ESPO) est président, issu de la liste POM. Représentation piège à cons, tel est le mot d'ordre du moment. C'est ce qui est dit en substance lors de la rentrée académique par Derenne, qui annonce un retrait des organes de décisions, et cela en surprend quelques uns. "Nous ne voulons plus nous enliser dans des points de passage obligés." Le but est de se dégager d'une représentation verticale pour ressourcer un mouvement étudiant de moins en moins mobilisé. "L'université ne demande pas à l'AGL d'être représentative, ce n'est pas son problème: il lui faut un point de vue étudiant, peu importe au fond lequel. A terme, nous ne tiendrons plus que suspendus par le haut, c'est-à-dire par les autorités." L'AGL tente donc de retourner aux étudiants, mais aussi de se tourner vers les chercheurs et les académiques. Il en ressort une idée géniale; les cours méta, qui visent à faire concrètement l'expérience de l'inter-disciplinarité. Suiveront ensuite les cours métis, qui invitent plutôt à l'inter-culturalité.

  • 1990-1991

    Christian Lamouline (DRT)
  • 1989-1990

    Bernard Rygaert (FSA)

  • 1988-1989

    Christian Boils (DRT) et Sophie Browet (MD) sont co-présidents.

  • 1987-1988

    Brice Depasse (DRT)

  • 1986-1987

    Alain Amiet (ESPO)
  • 1985-1986

    Olivier Van Cauwelaert (PSP)
  • 1984-1985

    Le Pape Jean-Paul II est reçu à Louvain-la-neuve en mai 1985. Véronique Oruba (ESPO) est alors présidente de l'AGL et prononce un discours tout à fait inattendu, remettant notamment en question les positions papales sur la contraception. À l'époque, l'AGL s'engage par ailleurs sur des combats politiques, plutôt sur la gauche de l'échiquier. Selon Delacollette, "l'université se méfiait de la puissance du mouvement étudiant et de son orientation nettement à gauche (...), alors elle a encouragé les cercles et les régionales pour contreblancer l'effet AGL." (cité dans Une aventure universitaire).
  • 1983-1984

    Jean-François Neven (DRT).

  • 1982-1983

    Vincent Lurquin (DRT)

  • 1981-1982

    Yves Delacollette (DRT) est un personnage bouillant. Il assigne l'UCL devant le tribunal de Wavre, les accusant d'avoir cassé le contrat de location de certains étudiants afin de pouvoir accueuillir en urgence autant de séminaristes. Et le tribunal lui donne raison.

  • 1980-1981

    Bernard Funck (ESPO).

  • 1979-1980

    Guy Sederslagh (ISP)
  • 1978-1979

    Pierre Guislain (DRT)

  • 1977-1978

    En février 1977, les étudiants entament une grève des loyers, dénonçant leur niveau, mais aussi la teneur des contrats et les états des lieux. Ils versent leurs loyers sur des comptes bloqués, durant plusieurs mois. Ils obtiennent un contrat de bail unique et un moratoire sur la hausse des loyers. Une des sociétés les plus visées par les étudiants en sort très fragilisée, et c'est Eckelmans qui récupérera son patrimoine immobilier. À l'époque, Michel Bechet (DRT) puis Pierre De Laet (ESPO) se succèdent à la présidence de l'AGL.

  • 1976-1977

    Christian Maes (PSP).

  • 1975-1976

    Benoît Thadée Standaert (ISP)
  • 1974-1975

    Pol Zimmer (ESPO)
  • 1973-1974

    Vincent Carton de Tournai (FSA)

  • 1972-1973

    Michel Vrecaempst (ESPO).

  • 1971-1972

    En 1971, lors de la pose de la première pierre du site, les étudiants de l'AGL s'opposent à la manifestation, qu'ils jugent bien trop loin des enjeux du moment.

  • 1965-1966

    Nicolas Brahy est à la barre (DRT). L'AGL participe à la redéfinition des 24h (annulées en raison du décès accidentel d'un étudiant) et à la création de la CGEE (anciennement CIEE). Elle accueille des sans papiers, organise une Semaine de l'électeur citoyen et une Semaine de l'avenir (conférence, Tiers-mondopoly géant, etc.) Le mouvement éudiant ne vit plus ses moments forts; "soyons lucides: l'AGL c'est cent étudiants motivés, quelques centaines de sympathisants, et des milliers d'indifférents". (cité dans Une aventure universitaire)

  • 1964-1965

    UG - Union Générale des étudiant·e·s

    Constituée en 1961, l'Union Générale des étudiant·e·s a été lancée pour constituer le pendant à la Fédération wallonne des étudiant·es de Louvain regroupant les Régionales. L'UG (future AGL) fédérait, quant à elle, les Cercles facultaires qui souhaitaient s'engager dans le "syndicalisme étudiant", autour de la démocratisation de l'enseignement supérieur, de la participation étudiante et d'une réforme des études (considérées comme trop magistrales). La présidence revient à Guy Jonnart (MD).
  • 1963-1964 (UG)

    Jean-Louis Luxen (DRT)

  • 1962-1963 (UG)

    Adelin Thomas (PSP)

  • 1961-1962 (UG)

    Alain Borlée (MD)